L’association
Fondée en mars 2024 à Genève, l’Association Reconnaissance est la première étape d’un long chemin vers la création d’une nouvelle institution : une Commission de reconnaissance des violences sexuelles. Le but de l’association est de récolter des fonds pour la mise en place d’un prototype qui sera couplé à des études universitaires.

Comité
Le comité est composé de :
Laura Mach (co-présidence)
Laura Mach est médecin et pédopsychiatre, formée en santé mentale publique (FMH médecine interne, FMH psychiatrie et psychothérapie enfant-adolescent, CAS Santé mentale publique à l’Université de Genève).
Elle a travaillé 25 ans en institution (HUG, CHUV, OMP) avant de s’installer en cabinet privé.
Elle est aussi députée au Grand Conseil genevois depuis 2023.
Sophie Bobillier (co-présidence)
Sophie Bobilier est avocate, spécialisée en droit pénal, droit de l’asile et des migrations, ainsi que des questions de justice sociale.
Elle est aussi députée au Grand Conseil genevois depuis 2023.
Morgan Piguet (membre du Comité)
En parallèle à son activité de conducteur de trains aux CFF, Morgan Piguet effectue des mandats événementiels et est engagé bénévolement dans de nombreux projets sociaux.
Il a aussi été indépendant dans l’événementiel, consultant RH et a passé cinq ans comme écoutant à la Main Tendue (de 2018 à 2023). Il dispose d’un Bachelor HEC de l’Université de Genève, ainsi que de certificats RH et praticien PNL.
Romain Guillo (membre du Comité)
Romane Guillo est titulaire d’un Master en droit pénal et civil de l’Université de Genève (UNIGE, 2021), ainsi que d’un LL.M. avancé en droit international public avec spécialisation en droit international pénal de l’Université de Leiden (2022).
Guidée par son intérêt pour la pratique des juridictions pénales internationales et les droits des victimes et survivant-e-s des crimes internationaux les plus graves, elle a aussi effectué un stage de six mois à la Cour pénale internationale, au sein de la section participation et réparation des victimes du Greffe (2022-2023).
Depuis le mois de mars 2023, elle est Assistante-Doctorante au département de droit pénal au sein de la faculté de droit de l’UNIGE, dans les domaines du droit international pénal et la justice transitionnelle. Ses recherches doctorales se concentrent en particulier sur les défis de la preuve dans la poursuite des crimes internationaux les plus graves liés au genre.
Lucie Malherbe (membre du Comité)
Lucie Malherbe est cheffe de projet en communication et affaires publiques, avec de l’expérience professionnelle dans les médias, la communication politique et la communication institutionnelle.
Elle a obtenu un Bachelor en sciences de l’information et de la communication et sociologie à l’Université de Neuchâtel et termine actuellement un Master in Business Communication à l’Université de Fribourg.